biboluc

La plage est presque déserte ce matin, peu avant midi… L’air est doux, une brise légère irise l’océan… Je suis assis sous le baobab face à l’océan… Trois jeunes hommes passent devant moi, le long des flots… Leurs torses nus luisent dans la lumière… Nos regards se croisent… Sourires gracieux… Prémices complices… Ils vont jouer sous un arbre voisin… Je les observe dans leur beauté fraiche et gracieuse…

Je m’approche d’eux, leurs sourires m’accueillent avec nonchalance… Nos mains approchent les corps chauds, se posent sur les maillots moulés de désir… Très vite, à l’ombre des feuillages, nous sommes entièrement nus… Leurs sexes se gonflent déjà et m’attirent… Je les caresse : je vais de l’un à l’autre… Je sens la chaleur de leurs couilles au creux de mes mains comme blotties dans un nid… Les verges se dressent de désir… À genou, déjà je suis pour les lécher tour à tour : j’aime en sucer une goulument  tout en branlant les deux autres… Le parfum poivré des prépuces m’enivre… Je passe de l’une à l’autre et le ballet les amuse… Un corps sensuel se glisse dans mon dos, une main frémissante se glisse entre mes cuisses et me caresse la verge humide tandis que l’autre me tartine de vaseline la rosette palpitante… Un doigt se faufile dans ma « chatte » gourmande… Mes fesses ondulent et invitent à la pénétration… Ses deux mains sur mes hanches, je sens le bout de sa queue s’approcher de ma « chatte » désirante… Il pousse doucement : sa bite souple me pénètre délicatement alors que je continue à lécher les deux autres de plus en plus mouillées et gonflées… La sarabande à quatre commence : je m’offre et m’ouvre à la queue chaude et occupant tout mon orifice ravi… Le plaisir les envahit tous trois et je suis au comble du ravissement quand je sens son foutre gicler au fond de mes entrailles : délice total ! Sa bite quitte délicieusement sa tanière et une autre occupe aussitôt l’espace libre et gluant de foutre… Elle est un peu plus grosse et m’habite peu à peu totalement… Les deux mains accrochées à mes hanches, le jeune homme me pénètre pleinement, lentement, son membre m’emplit peu à peu : délectation totale au creux de mon cul offert à la possession virile… Le va et vient s’accélère, il me gifle les fesses rebondies  et ravies… la brûlure intensifie le plaisir de m’offrir… Le va et vient s’intensifie : j’entends le bruit mat de mon cul venir frapper son ventre… Et je suce jusqu'aux couilles pleines la troisième verge gonflée… Le ballet reprend à trois, tandis que le 4è nous encourage : « Allez, baise le bien profond, il aime ça, fourre le bien à fond, ta bite se loge dans son cul tout chaud de ma sauce !!! » L’homme debout s’agite de plus en plus dans ma bouche vorace… Un premier jet de sauce épaisse m’inonde le palais suivi d’autres gras et délicieux… En symphonie avec l’autre bite qui gicle à plusieurs reprises dans mon cul aux anges ! Une main déjà experte me caresse la verge gonflée tout en griffant le méat et je jouis à l’unisson… Tous les corps sont repus de jouissance… La bite du premier jouisseur raide à nouveau se présente à nouveau à mes yeux et s’apprête à décharger son lait épais sur ma langue tendue… Je suis inondé de sperme et de jouissance… Nous nous allongeons sur le sable, nos corps anéantis de plaisir…